Il est hélas devenu évident aujourd’hui que notre technologie a dépassé notre humanité.

Quand une femme a des ambitions (mondaines, intellectuelles, ou professionnelles comme aujourd’hui) et les moyens de les satisfaire, elle est infiniment moins tentée que d’autres d’investir son temps et son énergie dans l’élevage de ses enfants.

Qu’arriverait-il si l’humanité quittait la planète en oubliant de débrancher le dernier robot.

Aristote: « Nous sommes ce que nous repettons quotidiennement. L’exellencce n’est pas un acte, mais une habitude… »

Je suis un Roboticien.

 

Bientôt, semées sous votre peau, les puces feront partie de votre corps. Vous serez votre propre robot. Un autre monde est déjà au travail. Tout ce que la science est capable de faire, elle le fera. Un rêve de puissance nous emporte.

Il ne faut pas que le robot soit trop intelligent, sinon il voudra rien foutre.

La trouille ? Bien sûr, j’avais la trouille. Embrasser une filière nouvelle et inédite dans une sous-région… Et qui ne l’aurait pas eu ? Un fou, peut-être, un suicidaire, un robot… ou un officier de première ligne.

On ne peut plus. On ne peut plus vivre sans poésie, couleur ni amour. Rien qu’à entendre un chant villageois du XVe siècle, on mesure la pente descendue. Il ne reste rien que la voix du robot de la propagande (pardonnez-moi). Deux milliards d’hommes n’entendent plus que le robot, ne comprennent plus que le robot, se font robots.

Première Loi : Un robot ne peut blesser un être humain ni, par son inaction, permettre qu’un humain soit blessé. Deuxième Loi : Un robot doit obéir aux ordres donnés par les êtres humains, sauf si de tels ordres sont en contradiction avec la Première Loi. Troisième Loi : Un robot doit protéger sa propre existence aussi longtemps qu’une telle protection n’est pas en contradiction avec la Première et/ou la Deuxième Loi.